|
Si cet e-mail ne s'affiche pas correctement, cliquez ici.
|
 |
|
|
|
|
|
Cathébrèv' n° 734 du 2 juillet 2020
- L'homélie de Mgr Ravel
à la cérémonie oecuménique du 26 juin
- Joyeux anniversaire à Michel Bolli
- Réouverture de la plateforme de la Cathédrale
- Il y a 150 ans
La destructiuon du Temple Neuf
- La nuit de la Saint-Jean dans la Cathédrale
|
|
|
|
Nos dernières actualités
|
|
|
|
 |
L’homélie de Mgr Ravel
à la cérémonie œcuménique du 26 juin
Le vendredi 26 juin 2020, Mgr Luc Ravel et le président Christian Albecker avaient donné rendez-vous aux catholiques et aux protestants pour faire mémoire des victimes de la Covid-19.
Devant la Préfète de la Région Grand-est et devant le Préfet du Haut-Rhin, Mgr Luc Ravel a prononcé une homélie qui a marqué l’assistance.
Pour la lire, cliquez ici.
|
|
|
|
|
|
|
 |
Joyeux anniversaire à
Michel Bolli
Ce mardi 30 juin, Michel Bolli a fêté ses 40 ans.
Il fêtait en même temps, mais sans trop vouloir le dire, ses 22 ans de présence comme sacristain à la Cathédrale, puisque c’est le
1er juillet 1998 qu’il a été embauché par la Fabrique.
Michel Bolli, qui reste fidèle à son village de Still et surtout à sa chère maman, chez qui il continue d’habiter, est devenu, au fil des années, ce sacristain fidèle et attentionné qui sait s’adapter aux situations les plus périlleuses. Pour lui, le mot impossible n’existe pas : à chaque difficulté, sa solution !
Ceux d’entre vous qui souhaitent entendre une anecdote savoureuse au sujet de la vie récente à la Cathédrale, qu’ils n’hésitent pas s’adresser à Michel Bolli. Il a vécu bien des choses, mais à chaque fois son sourire et son dévouement ont pris le dessus. Pour la plus grande gloire de Dieu et de Notre-Dame !
Michel Wackenheim
|
|
|
|
|
|
|
 |
Réouverture de la plateforme de la Cathédrale
Depuis le samedi 13 juin, la plateforme de la Cathédrale a rouvert au public.
Mais avec un certain nombre de mesures prises par l’Oeuvre Notre Dame et son directeur Éric Fischer. Il s’agit :
- de l’obligation de port du masque à compter de 11 ans ;
- de l’obligation de nettoyage des mains en début de
circuit et de la mise à disposition de distributeurs de gel à l’arrivée sur la plateforme ;
- de gardiens qui veilleront au respect de la distanciation physique à l’entrée (file d’attente) et sur la plateforme ;
- du flux de visiteurs qui sera géré de sorte que les personnes ne puissent pas se rattraper dans l’ascension et la descente (le demi-tour y est interdit) ;
- de la visite de l’intérieur de la maison des gardiens qui sera interdite ;
- du dispositif de panneau parapostillon installé à la caisse ;
- du nettoyage quotidien des locaux.
Des dispositions qui peuvent être modifiées selon l’évolution de la situation.
|
|
|
|
|
|
|
 |
Il y a 150 ans
La destruction du Temple Neuf
Dans la nuit du 24 août 1870, pendant le siège de Strasbourg par les troupes prussiennes, l’église du Temple Neuf (ancienne église des Dominicains) ainsi que la bibliothèque municipale (installée dans l’ancien chœur) ont été touchées par des obus incendiaires. L’édifice ainsi que toute la précieuse collection de livres, manuscrits et œuvres d’art de la bibliothèque ont péri dans les flammes.
Comme la paroisse luthérienne s’est alors retrouvée (à nouveau, comme en 1681) « sans abri », elle tient à faire mémoire de cette catastrophe humaine en explorant les événements de jadis par un programme cultuel et culturel (expositions, concerts) qui sera conclu, le lundi 24 août, par une soirée solennelle. Date à réserver !
À noter qu’au même mois d’août – mais bien plus tard, le 11 août 1944 – la Cathédrale, à son tour, a été mutilée par un intense bombardement. Deux bombes touchèrent l’édifice : l’une détruisit la tour de croisée Klotz et le grand lustre au-dessus du chœur ; l’autre tomba près de la chapelle Saint-Laurent. Fort heureusement les parties les plus emblématiques de la Cathédrale furent préservées. On imagine le traumatisme si la flèche avait été touchée.
|
|
|
|
|
|
|
 |
La nuit de la Saint-Jean dans la Cathédrale
Le 24 juin, l’Église fêtait le précurseur du Christ, saint Jean le Baptiste.
Traduite par Francis Klakocer, que nous remercions vivement, une légende rapportée au 19e siècle par Louis Schneegans évoque une étonnante « résurrection » durant la nuit de la Saint-Jean, c’est-à-dire durant la nuit qui va du 23 au 24 juin.
Pour lire la légende, cliquez ici.
|
|
|
|
|
|
|
Vous ne souhaitez plus recevoir ces mails ? cliquez sur le lien pour vous désabonner.
|
